C’est maux qui nous habitent, créent notre mal-être

Démoraliser, démotiver, déprimer, décourager, défaitiste, manque d’estime, manque de confiance en soi.

Tous ces adjectifs, ces attributs, ces attitudes caractérisent le mal être.

Les épreuves de vie affaiblissent notre organisme, il se peut que temporairement, lors d’une épreuve difficile cela nous arrive. En principe, si nous avons un bon ancrage dans notre vie, dans notre corps, de bonne fondation, nous nous relevons rapidement et ne seront pas affectés par ce manque d’entrain. Mais si nous avons des fissures, des failles dans notre construction de base, nous pouvons sombrer bien bas et avoir du mal à nous relever. Il nous faudra alors beaucoup de volonté pour nous en sortir, et l’aide de quelqu’un pour nous guider, nous soutenir.

Une personne qui a de bonne fondation est quelqu’un, qui a conscience que nous avons besoin de la terre pour exister, qui puise sa force de cette dernière, a de l’estime pour lui, pour les autres, agit avec spontanéité, vit sa vie en bien-être (heureux de sa vie, heureux d’exister), vivant dans le respect et la compassion. Qui communique aisément et avec sincérité, qui fait preuve de réflexion, de savoir et d’intuition acquis avec son expérience et la mise en œuvre de ses structures petit à petit, qui a conscience que nous ne faisons qu’un de l’infiniment petit à l’immensément grand.

Cela caractérise l’ouverture de nos 7 chakras, qui se positionnent de 7 ans en 7 ans en nous, pour que nous nous fortifions, que nous nous construisions.

Grâce à ceci circule en nous l’énergie qui nous stimule ou pas, moteur ou pas de notre vie, selon l’attribut du moment, qui nous correspond. Et si nos couches se sont superposées comme, il faut, nos chakras sont ouverts et équilibrés, s’ils ne le sont pas, nous fluctuons selon les évènements, de nos vies, ou grès de nos émotions, nos ressentis.

J’imagine notre cœur, comme un réacteur, qui diffuse en nous ce que nous sommes.

Quand nous sommes heureux, je le vois jaune comme le soleil. Irradiant notre corps de cette énergie solaire, qui nous réchauffe, nous stimule.

Quand nous sommes tristes, malheurs, je le vois gris comme la brume.

Mettant un voile, qui estompe nos perceptions, nos réactions dans nos vies, qui nous empêche d’être entièrement nous, qui calme, freine nos ardeurs.

Quand nous sommes en colère, énervé, je le vois rouge.

Nous brûlant à petit feu, nous ne pouvons pas nous nourrir de cette énergie trop souvent, trop longtemps. Car elle nous consume à petit feu. Elle nous procure trop d’énergie, nous sommes survoltés, en hypertension.

Moi j’ai choisi de vivre, l’énergie jaune. Et vous?

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