Nous sommes libres de nos choix de vie, nous ne sommes pas des marionnettes!

Un après-midi, il y a quelques années, quand j’habitais encore chez ma mère, j’étais en train de rêvasser à la fenêtre, en observant plus ou moins le paysage ensoleillé. La vue était dégagée, il y avait des maisons et des immeubles à perte de vue, la tour Eiffel était visible au loin, toute petite.

Quand une image me vînt subitement !

Je vis le monde peuplé de marionnettes, des ficelles partaient de la tête de chacun de nous et une main gigantesque les actionner.

Nous étions des pantins !

Je vous avoue que ce songe éveillé, me laissa perplexe sur le coup.

Aujourd’hui quand j’y pense cela me trouble, imaginez un monde où nous n’aurions la possibilité de ne rien décider.

Un monde où un être supérieur déciderait pour nous, nos actes, nos choix. Un monde impersonnel, de dictature en fait !

Ce serait affreux ! Non ?

Ce monde qui nous a été donné, où nous avons la chance de pouvoir nous épanouir, nous réaliser selon notre libre arbitre est si beau.

Encore faut-il prendre le temps de le voir, de l’apprécier, de savourer la chance que nous avons.

D’être heureux d’y naître, d’y vivre, de nous construire intérieurement, en apprenant à nous connaître et extérieurement grâce à nos relations et à nos actions.

Nous sommes libres d’être ce que nous voulons !

Nous sommes libres de poser les actions que nous voulons

La beauté de notre terre, m’inspire l’amour, la douceur.

Une fleur, un cygne, un papillon, un oiseau, un arbre, la mer, le soleil, la lune, etc., me rendent heureuse d’exister, me procurent un bien être.

Mon corps, mes glandes endocrines, mon être s’imprègnent, de l’énergie qui circule en moi, quand mon cœur vibre de bonheur.

Là ! Je vous parlais de mon ressenti.

Dans notre société, il est difficile de vivre pleinement ces sentiments de bien-être. En beaucoup de personnes, il y a de la passivité dans leur manière de vivre leur vie, elles vivent, marchent, agissent, mais elles semblent déconnectées.

Elles sont rentrées dans un engrenage, qui les maintient dans le côté superficiel de leur vie.

Pour certains c’est comme ça, ils foncent porté par le côté parasympathique de leur système végétatif. Ils le sollicitent pleinement, s’en se rendre compte qu’ils épuisent leur réserve, car le système végétatif doit se réguler en équilibrant le côté parasympathique et orthosympathique. Les réserves sont en nous de manière équitable et si nous sollicitons plus une glande endocrine qu’une autre il y aura déséquilibre.

En fait, si on fonctionne qu’avec une partie de notre système végétatif, les glandes endocrines qui correspondent à la partie sollicitée s’épuiseront.

Les recherches qui ont été menées sur le sujet indiquent qu’une fois les ressources épuisées, ce sont les organes aux alentours de nos glandes qui seront appauvris de leur ressource. Les réactions biochimiques qui sont engendrées par notre corps nous sont bénéfiques ou négatifs, selon leur intensité, la fréquence ou ils reviennent.

Ne pensons pas que nos agissements n’ont pas de conséquence sur nous, que nous n’avons aucun effort à faire sur notre manière de vivre, avec ceux qui nous entourent.

La liberté est dans notre choix de vie, mais chacun récoltera ce qu’ils sèment. Encore une fois, ce choix de vie pris dans l’enfance est primordial, car il déterminera qui nous serons. Un enfant dans son jeune âge, à selon son environnement, son caractère et son ressenti, un comportement face aux événements de sa vie.

Certains agissent spontanément, confiantes.

D’autres agissent à tatillon, plus au moins confiant mais pas motivé, ils agissent sans grande conviction.

Et il y a ceux qui n’ont absolument pas confiance en eux, tout est compliqué, tout est une épreuve.

Ce comportement nous suit à l’âge adulte, nous pouvons certes changer par la suite, mais le changement sera lent et long. Il ne faudra pas se décourager, face aux difficultés rencontrées et surtout s’entourer de personnes qui sont en phase avec nous, lire des livres qui nous nourrissent de cet état d’esprit. Car la route est semé d’embûches et de défis, elle ressemblera des fois à une traversée de désert. Il nous faut puiser au plus profond de nous et croire en nos convictions sur l’amour, la vie, la compassion et cette énergie divine qui coule en nous.

Quand je lis les livres de Matthieu Ricard, Frédéric Lenoir, Thomas d’Ansembourg, Edgar Tolle, mon cœur vibre, je retrouve dans leurs écrits, l’amour, la considération, l’attention, la compassion, la joie d’être.

Quand je parle avec certaines personnes je le retrouve en eux et cela me nourrit de bien-être.

J’ai fait le choix de vivre ma vie de manière positive, d’apprécier la vie et de profiter aux mieux de chaque jour qui est.

Je vous avoue que cela n’est pas facile à chaque instant, je souffre énormément de la cruauté, de la méchanceté, du manque de reconnaissance et du désespoir de certains d’entre nous.

L’actualité relate tous les jours soit de meurtres, d’attentats , de viols, de suicides, de choses aussi affreuses les unes que les autres.

À quel moment, un ex-enfant a perdu pied pour pouvoir devenir un individu pouvant faire du mal à autrui ou à lui-même ?

À quel moment sa vie a basculé, dans l’obscurité ?

La vie est belle, mais cette beauté ne tient qu’à un fil, pas un fil actionné par un marionnettiste. Un fil en or, un fil précieux, LA VIE QUI COULE DANS NOS VEINES.

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